lundi 13 juin 2016

Le massacre d'Orlando et l'enfumage des médias islamophiles.

Je suis gay mais je n'arborerai pas le drapeau arc-en-ciel aujourd'hui. Je n'assisterai pas non plus au rassemblement communautaire prévu ce soir dans ma ville. Orlando n’est pas un attentat homophobe. C’est un attentat musulman. Un énième attentat musulman sur une longue, très longue, liste qui n’en est qu’à ses débuts. Les gays ne sont qu’un bouc-émissaire, un prétexte, parmi beaucoup d’autres (les Juifs, les femmes, les athées, les chrétiens, les Occidentaux…) pour anéantir et supplicier tout ce qui n’est pas musulman. Je ne me sens donc pas plus concerné cette fois-ci que les précédentes.
Comme à chaque fois, nos «élites» et nos médias évitent soigneusement de nommer le responsable. Tout l’arsenal de propagande est déployé pour détourner notre regard et notre pensée, anesthésier notre jugement critique et nous manipuler. Au fils des massacres et des attentats perpétrés au cri de «Allahu akbar» et autres corâneries, tout (et surtout n’importe quoi) nous est servi au gré des cibles : les discriminations dont ils seraient victimes, les tensions inter-ethniques ou religieuses, l’insupportable offense provoquée par des mots ou des dessins, la soit-disant occupation israélienne, l’homophobie, l’antisémitisme, la misère, le passé colonial, l’ignorance, l'attitude provocante des femmes occidentales, le désespoir ou bien l'acte isolé d’individus déséquilibrés, de forcenés au lourd passé psychiatrique… la liste est infinie (pardonnez-moi de ne pas tout mettre entre guillemets). Les sommets de la créativité dans ce domaine sont proportionnels aux abysses de la lucidité et du courage.
Hier soir, alors que Daesh avait déjà revendiqué l’attentat de Floride, le proclamé «expert» du JT de TF1 faisait le procès de «la culture américaine de la violence» et du grand nombre d’armes à feux en circulation aux USA. Il fallait oser ! Et de s'inquiéter du coup de pouce que cela pourrait constituer pour l'élection de Donald Trump... Nous avons atteint dans ce pays un niveau de désinformation digne de l’URSS stalinienne.
Le criminologue Xavier Raufer résume très bien la situation en ces termes : «Comment voulez-vous que des gens qui ont peur des mots soient courageux face à des terroristes ?»
Les cadavres d’Orlando étaient encore chauds que déjà, au sein de la communauté LGBT, certains mettaient en garde contre la tentation xénophobe et le risque de récupération par le grand Satan : «l’extrême-drouâte». Aux mots de compassion pour les victimes et leurs proches… on a préféré des grandes déclarations de solidarité avec les-pauvres-musulmans-innocents qui avaient à craindre un probable retour de bâton. Là encore, il fallait oser. Mais ça n’est pas un problème quand on n'a ni décence ni scrupule.
Résultat : des gens, par millions, comme sur cette photo qui me désole. Comme ils sont mignons ces jeunes homos qui manifestent contre la pseudo-islamophobie. Ils sont naïfs, candides, complètement à côté de la plaque. Je leur mettrais des baffes tellement ils sont stupides et m’énervent. Mais méritent-ils pour autant de mourir ? Visiblement, leur sympathie pour les musulmans n'est pas réciproque... Les musulmans n'aiment personne !
Parfois, je suis tellement exaspéré que je m’abandonne à l’idée qu’on finit par mériter ce qui nous arrive quand on est aussi con. D’autres fois, j’ose encore croire que des «événements» type Orlando vont enfin leur faire ouvrir les yeux… mais même pas ! Les massacres commis au nom d’Allah deviennent la rubrique des chiens écrasés. Ils sont quotidiens. Mais rien n’y fait. «Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt» disait Oscar Wilde. Ces gens n’ont plus aucun esprit critique, ils ont été lobotomisés par la propagande multiculturaliste et politiquement correcte. Certains les appellent les «bien-pensants». Ils se trompent. Ce sont des «non-pensants». Les zombies du relativisme culturel et du masochisme occidental.
Il n’y a rien d’incroyable à ce qu’un musulman commette un massacre de masse dans un club gay… il ne fait qu’appliquer à la lettre ce que son idéologie putride lui dicte. Ce qui est incroyable c’est le déni de masse qui refuse de reconnaître le lien évident entre cette idéologie religieuse et les torrents de haine et de violence qu’elle génère.
C’est terrible mais je ne parviens plus à me sentir solidaire de ces petits professeurs du dimanche qui vous donnent des leçons de «padamalgam» et vous prescrivent des injections de «cépasalislam», de ces imbéciles qui sont incapables (et/ou ont peur) de pointer du doigt la source du mal, le seul véritable problème, et qui me voient comme un dangereux facho doté d'un QI d’huître. Fatigué de ces rassemblements mièvres et inutiles pour Paris, Bruxelles ou Orlando (mais jamais pour Tel-Aviv ou Jérusalem). Les victimes se foutent de ces marches silencieuses, elles sont mortes ! Le meilleur hommage qu'on pourrait leur rendre serait d'oeuvrer enfin pour qu'elles soient les dernières.
Et ça ne se fera hélas pas à coups de bougies, de fleurs et de larmettes (aussi sincères soient elles)...
Que faudra-t-il encore pour que le monde ouvre enfin les yeux et prenne l'islam pour ce qu'il est : la pire menace totalitaire et la plus odieuse barbarie depuis le nazisme.
Je ne suis pas Orlando. Je suis islamophobe !